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Ne subsistent plus du château que les anciennes cuisines : le reste du château a été déconstruit à la Révolution par le marchand de biens américain Daniel Parker qui la revendu pièce par pièce. Télécharger la pièce-jointe

L’extrémité nord-ouest du parc était fermée par une demi-lune et un fossé enjambé par un petit pont à deux arches, permettant de poursuivre sa promenade au delà. Télécharger la pièce-jointe

Madame de Pompadour aimait à se reposer de sa vie harassante, en battant elle-même le beurre. Elle fit aménager à Crécy une laiterie et un poulailler. Télécharger la pièce-jointe

Maintenant démoli, les ruines encore existantes de ses fondations témoignent de l’existence de ce pavillon de garde situé côté aile des Écuries du château de Mme de Pompadour. Télécharger la pièce-jointe

La mare actuelle de Crécy ne figure pas sur les plans de 1752 et 1755. Mais les points d’eau étaient nombreux au temps de Mme de Pompadour. Et Crécy a su conserver sa dernière mare. Télécharger la pièce-jointe

La première place de marronniers de Crécy a été plantée semble-t-il vers 1730 par Alexandre Verjus, comte de Crécy. Elle a été replantée après la tempête de 1999. Télécharger la pièce-jointe

Ancien bailliage de justice construit en 1753 par madame de Pompadour. Devenu école communale en 1906, fermée en 1991, et actuelle mairie. - Photo : © Yannick Le Pape Télécharger la pièce-jointe

Elle abritait au XIX° une petite entreprise de forge et de petit matériel agricole, avant de devenir maison d’habitation. Télécharger la pièce-jointe

En tant que tel, sous l’Ancien Régime, il bénéficiait de privilèges particuliers, en l’occurrence celui de posséder un colombier. Outre le plaisir de consommer de la viande de pigeon, le guano récupéré de son élevage pouvait être une source de revenu non négligeable pour ses seigneuries : revente, ou amendement des sols de cultures. Télécharger la pièce-jointe